À environ 50 km au sud-ouest de Strasbourg, dans un endroit isolé sur une colline des Vosges, se trouve le camp de concentration perdu de Natzweiler en France.

J’ai découvert ce camp de concentration de la Seconde Guerre mondiale l’été dernier lorsque je suis allée en France. Il se visite encore dans la région à l’Est de la France, appelée Alsace.

Oui, je sais qu’il y a eu des camps en France pendant la Seconde Guerre mondiale, mais il s’agissait surtout de camps de « transit ». Toutefois, je ne savais pas qu’il y avait des vestiges d’un véritable camp de concentration en France !

Selon un article publié sur CNN, il y avait 20 camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale, dont certains avaient de nombreux sous-camps. Natzweiler n’était pas un sous-camp et faisait partie des 20 camps principaux.

Natzweiler était le seul camp de concentration établi par les Allemands sur le territoire de la France d’avant-guerre.

Nous avons tous entendu parler d’Auschwitz qui était le plus grand et le plus meurtrier des camps d’extermination. On estime que 1,3 million de personnes y ont été envoyées et qu’environ 960 000 d’entre elles sont mortes dans le camp.

Les chiffres de Natzweiler sont dérisoires en comparaison, car il n’a pas été utilisé comme un camp d’extermination mais comme un camp de concentration. Néanmoins, 52 000 prisonniers sont passés par ce camp de concentration en France, dont 25 000 périrent dans des conditions atroces.

Une brève histoire de l’Alsace pendant la Seconde Guerre mondiale

L’Alsace est un exemple parfait d’un enfant dont les parents ne s’entendent pas et dont les deux parties veulent obtenir la garde complète. En 75 ans, l’Alsace changea quatre fois de nationalité ! Parfois elle était française, parfois allemande. Je parle davantage de l’histoire de l’Alsace dans mon article sur Strasbourg.

Après l’armistice du 22 juin 1940, la région d’Alsace fût annexée à l’Allemagne. Les Allemands ont d’abord créé le camp de Schirmeck près de Strasbourg. L’intention était de nazifier la population locale qui refusait d’adhérer à la philosophie nazie.

De 1940 à 1944, le camp servi d’internement pour les habitants de la région afin de les faire adhérer aux croyances des Allemands. Environ 10 000 Français sont passés par ce camp, y restant de quelques jours à quelques mois.

Ce camp était situé à environ 6 km de Natzweiler-Struthof.

Comment se rendre au camp de concentration de Natzweiler

Le camp de concentration de Natzweiler en France est situé à environ 1h de route de Strasbourg et de Colmar.

Situé dans les Vosges, dans une région isolée et fortement boisée, à une altitude de 800 m, le seul moyen d’y accéder est en voiture.

La ville la plus proche du camp est Rothau, qui possède une gare. De là, prenez la D130 (rue des Déportés) qui serpente à travers les collines. Suivez le panneau « Le Struthof » pendant quelques minutes et vous arriverez à destination.

Le stationnement est gratuit sur place, mais limité à 50 voitures. S’il est plein, vous pouvez vous garer à l’endroit où se trouve la chambre à gaz, puis remonter le chemin de 1,5 km jusqu’au musée et au camp.

Comment visiter ce camp de concentration de France

La durée de la visite sera déterminée en fonction de votre intérêt et de vos besoins. Prévoyez une visite d’au moins 2 heures, mais je recommande 3 heures. Les visites guidées sont disponibles et durent environ 1 heure. Ensuite, vous pourrez visiter le camp par vous-même ainsi que le musée.

Il est préférable de réserver ou d’appeler à l’avance pour la visite guidée afin de ne pas avoir à attendre qu’un créneau horaire soit disponible. Elles sont GRATUITES et en FRANÇAIS SEULEMENT.

Informations pratiques

Malheureusement, les chiens ne sont pas autorisés sur place, mais pour une fois, c’est tout à fait compréhensible.

Je ne devrais pas avoir à vous dire que des vêtements appropriés sont nécessaires, non seulement par respect pour le lieu mais aussi à cause de l’altitude. Il peut faire froid.

De plus, le camp est situé sur une pente assez raide qui ne rend pas la marche forcément difficile, mais de bonnes chaussures de marche peuvent être une bonne idée.

Le camp est gérable avec des poussettes et les fauteuils roulants peuvent y entrer, mais ne pourront pas descendre en raison de la pente.

Un billet combiné « billet duo » est disponible si vous prévoyez de visiter le Mémorial d’Alsace-Moselle, ce qui vous permettra d’économiser 5 euros par billet. Je parle de ce mémorial plus bas.

Visiter un camp de concentration avec des enfants

Les enfants de moins de 10 ans doivent être accompagnés et placés sous la surveillance d’un adulte. Est-ce approprié pour les enfants ? Je vous laisse en juger par vous-même.

Cependant, je vais dire ceci. Il n’y a rien de vraiment graphique à part ce que vous voyez dans le musée.

Quel est l’âge approprié pour visiter un camp de concentration avec des enfants ?

Je n’y avais pas pensé jusqu’à ce que je parle de notre visite à une amie. Pour elle, ses enfants étaient encore jeunes pour en visiter un, bien qu’ils aient relativement le même âge que Blondie Bear.

Mon frère a emmené ses enfants de 5 et 6 ans à Auschwitz-Birkenau lors de leur voyage autour du monde.

Voici ce que je peux dire à ce sujet :

-Nous sommes allés visiter celui-ci car il était tout proche d’où nous étions.

-Je n’irais pas visiter celui-ci avec des enfants plus jeunes si je ne me trouvais pas déjà dans la région.

– Pour Auschwitz-Birkenau, l’âge minimum pour visiter est de 14 ans. Bien que, comme je l’ai dit, vous pouvez y aller avec des plus jeunes à condition qu’ils sachent comment se comporter (pas de course, pas de cris, silence ).

-Une chose que vous pouvez faire est de visiter les baraques à tour de rôle avec votre partenaire ou l’adulte avec qui vous voyagez , afin que l’enfant n’ait pas à entrer. C’est là que les images atroces sont affichées.

– Parlez de cette période avec vos enfants avant la visite. Bien entendu, n’y allez pas sur un coup de tête.

-Regardez des films adaptés à l’âge de l’enfant et lisez des livres relatifs à cette période. Le Journal d’Anne Frank est toujours un bon point de départ, mais il y en a beaucoup d’autres.

* À quel âge emmèneriez-vous votre enfant en visiter un si l’occasion se présentait ?

Histoire du camp de concentration de Natzweiler

Fin 1940, les Allemands ont découvert une carrière de granit rouge dans les Vosges, au Mount Louise.

Ils y ont décidé d’y établir un camp de « travailleurs » afin d’exploiter le granit. Le matériel servira à approvisionner les nazis pour certains de leurs projets architecturaux.

À l’époque, les camps de concentration étaient différents des camps d’extermination car ils servaient de camps de travail. Les prisonniers étaient utilisés comme travail forcé dans les zones liées à la guerre pour fabriquer des armes principalement.

Jusqu’en 1945, Natzweiler-Struthof disposait d’un complexe d’environ 70 sous-camps situés en Alsace et en Lorraine ainsi que dans les provinces allemandes voisines. Bien qu’étant l’un des plus petits camps de concentration nazis, il était particulièrement meurtrier.

En l’espace de trois ans, environ 25 000 détenus sur 52 000 sont morts de malnutrition et d’épuisement de travail.

Avant l’achèvement de la construction du camp en mai 1941, les prisonniers dormaient dans l’ancien hôtel Struthof, situé à proximité, d’où le nom du camp. Avant le début de la guerre, c’était une station de sports d’hiver réputée où les Strasbourgeois aimaient faire du ski ou de la luge sur les pistes. Au printemps, ils aimaient y pique-niquer et faire des randonnées dans la région.

Le camp a fonctionné du 21 mai 1941 à septembre 1944. Il fût libéré le 23 novembre 1944 par le sixième groupe d’armée américaine et l’armée française.

La vie dans le camp

L’emplacement du site, au milieu d’une forêt luxuriante, contrastait fortement avec l’image de milliers de pyjamas rayés se promenant en sabots de bois.

Il y avait moins de 200 gardes qui s’occupaient des détenus, ce qui montre bien la perversité de la délégation de pouvoir à des détenus choisis par les SS pour faire leur sale boulot. Le plus souvent, les prisoniers choisis étaient des criminels endurcis et des « sociopathes ».

La vie dans le camp de concentration de Natzweiler était aussi dure que dans n’importe quel autre camp. Le taux de mortalité était supérieur à 40% et si vous surviviez plus de 6 mois, vous faisiez partie des « chanceux ».

En arrivant en camion depuis la gare de Rothau ou en parcourant le chemin de 8 km à travers la forêt, les détenus devaient être ‘nettoyés’. Leurs têtes étaient rasées pour limiter les poux. Tous les cheveux devaient être enlevés. Les cheveux de leurs têtes étaient récupérés et envoyés dans des usines allemandes pour créer du crin.

Les marches menant aux baraques étaient particulièrement hautes. Que les prisonniers portent des pierres ou non, au bout d’un certain temps, ils ne leur restaient plus beaucoup de force dans les jambes. Sans parler du fait que les SS étaient sadiques et aimaient battre les prisonniers pendant qu’ils montaient et descendaient ces escaliers. Ils laissent même leurs chiens s’en prendre à eux.

Les prisonniers avaient trouvé une façon « intelligente » de se maintenir en mouvement, car il n’était pas possible de s’arrêter. Avant chaque marche, ils passaient une main sous un genou pour les aider à lever une jambe. Ils le faisaient une jambe à la fois pour chaque marche et répétaient le processus jusqu’en haut.

Expériences

Le camp a également servi à tester les expériences des médecins de la « nouvelle » faculté de médecine de Strasbourg.

Bien entendu, ils utilisèrent les détenus comme cobayes, principalement des Tsiganes, des Juifs et des homosexuels.

Les expériences portaient sur le traitement du typhus et de la fièvre jaune. Des recherches ont également été menées pour trouver d’éventuels antidotes au gaz toxique utilisé comme arme chimique pendant la Première Guerre mondiale.

Une fois, l’expérience du typhus a mal tourné et a contaminé une partie du camp au printemps 1944.

Certains enfants ont été assassinés dans le camp dans le seul but de tester les poisons pour des exécutions discrètes.

Leo Alexander, conseiller médical au procès de Nuremberg (Wikipedia)

August Hirt, anatomiste, a réalisé une collection de squelettes juifs. Pour lui, les Juifs étaient racialement inférieurs. Aux fins de ce projet, il a fait exterminer 86 hommes et femmes dans le camp.

Les 86 « détenus » venaient d’Auschwitz. Ils furent bien nourris pendant 2 semaines pour être de bons spécimens de taille normale et ensuite gasés pour qu’il n’y ait pas de dégâts sur le corps.

Les cadavres furent ensuite envoyés à l’Université de Strasbourg pour y être étudiés. Hirt n’a pas pu réaliser la dernière partie du processus qui consistait à faire des moulages anatomiques des corps à cause de l’approche des Alliés.

Hirt se tira une balle dans la tête alors qu’il se cachait dans la Forêt-Noire le 2 juin 1945.

Les prisoniers du camp

Très peu de femmes SS ont servi dans le camp, car la population carcérale féminine était faible. Les quelques femmes qui sont venues au camp étaient pour des expériences médicales ou pour être exécutées. Ce fût le cas des 4 agents britanniques du SOE (special operations executive).

Le SOE fût le premier service à envoyer des agents féminins sur le terrain. Elles furent parachutées en France en 1942, puis capturées et envoyées à Natzweiler le 6 juillet 1944. Elles furent exécutées le jour de leur arrivée par injection létale et leurs corps furent incinérés au camp.

Chaque fois que la porte du four était ouverte et que de la fumée sortait de la cheminée, cela signifiait qu’un corps avait été mis dans le four. J’ai vu des flammes quatre fois ».

Docteur Guérisse, déporté au KL Natzweiler

Cependant, la majorité des prisonniers étaient issus des différents mouvements de résistance dans les territoires occupés par l’Allemagne. Les Polonais représentaient 30% de la population carcérale.

Ils étaient également des prisonniers politiques, juifs, tziganes, homosexuels et « Nacht und Nebel ». Surnom donné aux prisonniers coupables de sabotage, d’actes de terrorisme et exécutés discrètement.

Nuit et brouillard (Nach und Nebel) =NN.

A partir de l’été 1943, de nombreux NN furent détenus dans le camp. Toute personne reconnue coupable d’actes de résistance devait être exécutée en public. Cependant, les Allemands craignaient qu’ils soient considérés comme des martyrs et ils ne voulaient pas cela.

Le coupable était donc arrêté et condamné à un camp. Ils n’avaient aucun lien avec le monde extérieur. Ensuite, ils étaient exécutés discrètement. Les Allemands trouvaient toujours une raison : ils ont essayé de s’échapper.

Cependant, la mort survenait dans le camp, principalement à cause des conditions de vie et de travail difficiles. Leur repas quotidien ne contenait que 1200 calories, malgré le fait qu’ils travaillaient 12 heures par jour.

Les chiens étaient mieux nourris que les prisonniers. Les détenus volaient des biscuits pour chiens dans les chenils afin de compléter leur ration. S’ils avaient la chance d’avoir un peu de viande, celle-ci provenait généralement d’animaux tués lors de bombardements.

En 1944, l’ancien chef du camp de concentration d’Auschwitz a été amené à évacuer les prisonniers vers d’autres camps ou sous-camps en Allemagne et en Pologne à l’approche des armées alliées.

Lorsque le camp fut évacué, les prisonniers furent envoyés à Dachau, dont la plupart moururent au cours de la marche de la mort.

Ce que vous verrez au camp de concentration de Natzweiler

Le camp a été conservé comme un musée en mémoire de ceux qui y ont été détenus ou tués.

Il ne reste pas grand-chose du camp, car la majorité des baraques furent détruites à la fin de la guerre. Cependant, certains éléments d’origine subsistent, comme les clôtures, la porte principale, les tours de guet et l’aile médicale avec son crématorium.

L’une des casernes a été transformée en musée après la guerre.

Le musée présente des panneaux d’information avec des textes, principalement en français et en allemand, des photos illustrant la vie dans le camp, l’organisation interne, les conditions de travail et le système de répression et de punition

Les autres casernes ne sont indiquées que par la forme de leurs empreintes sur la pente en terrasses du terrain du camp.

En dehors du périmètre du camp, vous remarquerez une petite villa avec une piscine datant de 1911. Elle appartenait à un riche banquier strasbourgeois, mais elle fût réquisitionnée et habitée par le commandant du camp.

Difficile de la râter car elle n’est qu’à 200 mètres de l’entrée du Camp. Pour s’y rendre, il suffit de prendre le petit chemin qui part en diagonale de l’entrée.

Imaginez vous entrain de vous prélasser dans la piscine si près d’un lieu de grande souffrance.

Si vous suivez le chemin, il vous mènera à l’ancien bâtiment de la chambre à gaz. Je ne sais pas à quoi ressemble le chemin car nous avons pris la voiture pour nous y rendre. Si l’envie vous tente, le chemin fait environ 1,5 km.

Chambre à gaz

La chambre à gaz était située dans une ancienne annexe qui servait de salle de bal devant un hôtel où dormaient les officiers SS du camp.

Ce n’est pas un grand bâtiment et il n’était pas ouvert lors de notre visite.

Les baraquements du camp

Quand vous arrivez au camp, vous arrivez au sommet d’une colline, entourée d’une forêt dense.

Le prisonnier découvrait ce « décor » qui le conduisait progressivement à sa mort.

Le long de la clôture extérieure ouest, il y a un long chemin en pente qui était appelé « le ravin de la mort ». Il était délimité par une petite corde avec un no man’s land entre lui et la clôture. Si un prisonnier venait à « trébucher » sur la corde, il était abattu. Cela arrivait assez souvent.

Bâtiment médical

Dans le bâtiment médical, vous verrez une salle avec des étagères empilées d’urnes et une salle avec une table de dissection en carreaux blancs en son centre. Vous verrez également dans ce bâtiment le four en fonte qui servait de crématorium.

Les urnes contenaient les cendres des ressortissants allemands que les familles pouvaient récupérer moyennant un paiement. Sinon, les cendres étaient jetées dans un trou non loin du bâtiment, dispersées dans le potager ou à travers le camp.

Pendant l’hiver, et encore aujourd’hui, les vestiges de cet horrible passé remontent à la surface.

Bâtiment de la prison

Le bloc cellulaire de la prison se trouvait juste en face du bâtiment médical.

Il était utilisé pour l’isolement de prisoniers en guise de punition ou pour les châtiments corporels.

Malheureusement, il était fermé pendant notre visite, de sorte que nous ne pouvions voir qu’à travers les fenêtres.

Dans l’une des cellules, vous verrez en exposition un râtelier en bois sur lequel les prisonniers étaient brutalement battus, causant de graves blessures à leur corps.

Où aller à partir de là

La visite de ce camp de concentration, qui était ma première visite, fut très instructive. Il n’est peut-être pas aussi grand qu’Aushwitz d’après ce que j’ai pu lire, mais la visite guidée a vraiment complété notre expérience.

Si vous souhaitez en savoir plus sur l’histoire de la région Alsace à cette époque, voir ci-dessous.

Mémorial d’Alsace-Moselle

Le Mémorial Alsace- Moselle se trouve au nord de Schirmeck, à environ 15 minutes de route.

Il couvre l’occupation de la région par les Allemands et l’effet qu’elle a eu sur ses citoyens. L’exposition est extrêmement bien faite et les enfants pourront vraiment en profiter.

On y trouve également des vestiges de l’ancienne ligne Maginot. Il s’agissait d’un système élaboré de bunkers, de tunnels et de positions d’artillerie destiné à retarder toute attaque venant de l’Est.

La ligne Maginot fut construite dans les années 1930. Elle a été complètement inefficace pendant la Seconde Guerre mondiale, car la ligne s’est arrêtée juste avant les frontières belges et les troupes d’Hitler l’ont contournée pour attaquer la France pendant la Seconde Guerre mondiale.

Si vous le pouvez, visitez d’abord ce musée avant de vous rendre au camp de concentration. Ainsi, vous comprendrez mieux comment et pourquoi ce camp a vu le jour.

Ensuite, traversez les villages pittoresques aux maisons à colombages avant de rentrer ou dirigez vous vers Strasbourg ou Colmar. Vous pouvez le faire en empruntant le long chemin qui traverse les montagnes vosgiennes ou l’autoroute.

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Cependant, rien ne vaut une promenade en voiture à travers les forêts denses sur les collines des Vosges. Vous pouvez vous arrêter en cours de route pour pique-niquer, faire une randonnée ou admirer les vues. Eventuellement, arrêtez-vous dans un autre endroit historique. Par example, les tranchées de la Première Guerre mondiale du « Col du Linge« .

En France, et la région Alsace ne fait pas exception, il y a toujours quelque chose d’important au niveau historique qui vaut la peine d’être visité.

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